Issu du domaine de l’architecture et de l’histoire de l’art, Mathieu Laroche expérimente depuis les années 90 des matériaux permettant de garder les bâtiments sains, fonctionnels et positifs en terme d’impact sur la santé humaine. Il réalise ses premiers essais avec le chanvre à une époque ou le matériau était encore marginal.
Sa spécialisation dans la réhabilitation du bâtit ancien et son intérêt pour les techniques traditionnelles lui apportent une compréhension fine des principes directeurs de la construction vernaculaire qui nourrissent aujourd’hui sa réflexion sur l’habitat, son insertion et ses effets sur l’environnement
Les données scientifiques actuelles permettent de valider l’intérêt de ces méthodes, qui sont riches d’enseignements et méritent d’être réintégrées dans les projets d’aujourd’hui pour élever la construction à un haut niveau de compatibilité environnementale.